Flottant entre l'adolescence et l'âge adulte, Julien, 26 ans, vit avec son coloc Pierrot, qui tente de sortir son ami de la torpeur dans laquelle l'a plongé la mort de Florence, son amoureuse, victime d'une balle perdue lors d'un règlement de comptes au bar où elle était serveuse. Faudra bien qu'un jour tu te décides à poser un pied dans la vie, se dit Julien, qui croit avoir renoncé à l'amour. Mais c'était compter sans Annie.
Comme il le fera plus tard avec bonheur dans la populaire série télévisée La Vie, la vie, Stéphane Bourguignon dépeint avec humour et tendresse les hauts et les bas amoureux des hommes et des femmes de sa génération : la trentaine. Il dessine un portrait mordant et émouvant des relations hommes-femmes. Dans une langue imagée, il décrit les extases de la passion, l'amour qui s'éteint doucement lorsque les habitudes s'installent et que le désir de l'une – notamment d'avoir un enfant – n'est plus forcément celui de l'autre. Toutes ces conneries que nous font endurer les femmes, et qu'on n'est jamais à la hauteur de rien, se lamente Julien, alors que Annie, péremptoire, déclare : on passe notre vie à essayer de vous expliquer, mais vous ne comprenez JAMAIS RIEN. Annie tombera enceinte et Julien voudra, désespérément, que ça marche quitte à y laisser [sa] peau.
Flottant entre l'adolescence et l'âge adulte, Julien, 26 ans, vit avec son coloc Pierrot, qui tente de sortir son ami de la torpeur dans laquelle l'a plongé la mort de Florence, son amoureuse, victime d'une balle perdue lors d'un règlement de comptes au bar où elle était serveuse. Faudra bien qu'un jour tu te décides à poser un pied dans la vie, se dit Julien, qui croit avoir renoncé à l'amour. Mais c'était compter sans Annie.
Comme il le fera plus tard avec bonheur dans la populaire série télévisée La Vie, la vie, Stéphane Bourguignon dépeint avec humour et tendresse les hauts et les bas amoureux des hommes et des femmes de sa génération : la trentaine. Il dessine un portrait mordant et émouvant des relations hommes-femmes. Dans une langue imagée, il décrit les extases de la passion, l'amour qui s'éteint doucement lorsque les habitudes s'installent et que le désir de l'une – notamment d'avoir un enfant – n'est plus forcément celui de l'autre. Toutes ces conneries que nous font endurer les femmes, et qu'on n'est jamais à la hauteur de rien, se lamente Julien, alors que Annie, péremptoire, déclare : on passe notre vie à essayer de vous expliquer, mais vous ne comprenez JAMAIS RIEN. Annie tombera enceinte et Julien voudra, désespérément, que ça marche quitte à y laisser [sa] peau.