Dans l’urgence d’une langue orale et indocile, Virginie DeChamplain imagine une post-apocalypse féminine où l’on recueille le présent dans ses plus subtils détails : la profondeur des bleus de la rivière, la texture des premiers bourgeons, les effets de la lumière sur les feuilles des arbres.
Dans l’urgence d’une langue orale et indocile, Virginie DeChamplain imagine une post-apocalypse féminine où l’on recueille le présent dans ses plus subtils détails : la profondeur des bleus de la rivière, la texture des premiers bourgeons, les effets de la lumière sur les feuilles des arbres.