Quand je pense au racisme, j'ai l'image d'un prédateur qui surgit toujours à un moment inattendu. Ce sont généralement les commentaires les plus innocents qui font le plus mal. Toutes ces interactions sont douces et sans violence. mais me rappelle constamment le poids de ma différence : je suis noir.
Quand je pense au racisme, j'ai l'image d'un prédateur qui surgit toujours à un moment inattendu. Ce sont généralement les commentaires les plus innocents qui font le plus mal. Toutes ces interactions sont douces et sans violence. mais me rappelle constamment le poids de ma différence : je suis noir.